photo Rencontre

Rencontre "Artistes sous contraintes"

Dun-les-Places 58230

Du /00/1e16 au //099

Samedi 19 juin, à 14h30, Sandra Reinflet présentera son exposition "Voie.X. Artistes sous contraintes", installée en plein-air autour du Mémorial de Dun-les-Places. Sandra Reinflet propose d’interroger les contraintes actuelles que subissent les artistes dans le monde entier, et plus récemment en France face aux conséquences des contraintes sanitaires. L’exposition présente des portraits d’artistes qui posent l’acte de création comme un acte de résistance dans des pays où vivre de l’art est une gageure. Loin d’être misérabilistes, ces images suggèrent surtout que la contrainte n’est pas un mur infranchissable, mais une incitation à l’inventivité, au contournement, voire au détournement. En tout cas à l’action. Comme les détails se cachent autant dans les lignes de fuite que dans celles du visage, Sandra Reinflet réalise ses portraits au grand angle. Une manière d’esquisser une géographie intime où le sujet et son environnement sont liés, de gré ou de force. Cette série de photographies « Voie.X., artistes sous contraintes », a reçu le prix Roger Picq 2021 de la SCAM (Société Civile des Auteurs Multimédia). Cette présentation de l'exposition sera suivie d'une table[...]

photo Exposition - Voie.x, artistes sous contraintes

Exposition - Voie.x, artistes sous contraintes

Dun-les-Places 58230

Du 19/05/2021 au 17/10/2021

Sandra Reinflet propose d’interroger les contraintes actuelles que subissent les artistes dans le monde entier, et plus récemment en France face aux conséquences des contraintes sanitaires. La série VoiE/X propose des portraits d’artistes qui posent l’acte de création comme un acte de résistance dans des pays où vivre de l’art est une gageure. Loin d’être misérabilistes, ces images suggèrent surtout que la contrainte n’est pas un mur infranchissable, mais une incitation à l’inventivité, au contournement, voire au détournement. En tout cas à l’action. Comme les détails se cachent autant dans les lignes de fuite que dans celles du visage, Sandra Reinflet réalise ses portraits au grand angle. Une manière d’esquisser une géographie intime où le sujet et son environnement sont liés, de gré ou de force. À l’heure où la liberté d’expression est remise en cause un peu partout, ce travail propose, au-delà de son aspect graphique, une réflexion politique. Puisqu’il est complexe de créer, les artistes deviennent résilients, puis résistants. Valoriser leur combat, c’est valoriser l’acte de création dans son ensemble et encourager ces voix que l’on n’entend pas, ou pas assez. Cette[...]

photo Exposition : DYSLEXIE DE SURFACES (III)

Exposition : DYSLEXIE DE SURFACES (III)

Nevers 58000

Du 25/11/2021 au 22/02/2022

C'est un lieu commun : nous évoluons sans répit (ou presque) dans un monde d'images et de technologies dont les origines, les mécanismes nous échappent grandement - happés que nous sommes par leur efficacité fonctionnelle. À rebours de cet état de fait, là où l'on ne perçoit habituellement que boîtiers compacts et opaques, l'installation Dyslexie de surfaces, nous invite à pénétrer dans cet espace caché, à en éprouver l'esthétique. Dans ce chantier au long cours qu'il développe depuis 2019, Jean-Julien Ney appréhende nos objets numériques dans leur physicalité irréductible. Il sépare les composants, distend les circuits, insère du vide, crée des volumes, travaille l'image et son altération telle un objet. Ses mains dissèquent, mais loin de se défaire de la logique machinique, elles nous la restituent comme agrandie, en quelques sortes à la fois ridiculisée et effrayante. Nous sommes en effet face à des paysages à l'élégance clinique, se présentant comme autant d'arrêts sur image pris dans le mouvement imperturbable d'une machinerie obsessionnelle. Régies selon l'angle droit du profilé d'aluminium, des surfaces se dupliquent, obéissent à un processus imparable, à même d'absorber,[...]

photo Exposition : DYSLEXIE DE SURFACES (III)

Exposition : DYSLEXIE DE SURFACES (III)

Nevers 58000

Du 25/11/2021 au 22/02/2022

C'est un lieu commun : nous évoluons sans répit (ou presque) dans un monde d'images et de technologies dont les origines, les mécanismes nous échappent grandement - happés que nous sommes par leur efficacité fonctionnelle. À rebours de cet état de fait, là où l'on ne perçoit habituellement que boîtiers compacts et opaques, l'installation Dyslexie de surfaces, nous invite à pénétrer dans cet espace caché, à en éprouver l'esthétique. Dans ce chantier au long cours qu'il développe depuis 2019, Jean-Julien Ney appréhende nos objets numériques dans leur physicalité irréductible. Il sépare les composants, distend les circuits, insère du vide, crée des volumes, travaille l'image et son altération telle un objet. Ses mains dissèquent, mais loin de se défaire de la logique machinique, elles nous la restituent comme agrandie, en quelques sortes à la fois ridiculisée et effrayante. Nous sommes en effet face à des paysages à l'élégance clinique, se présentant comme autant d'arrêts sur image pris dans le mouvement imperturbable d'une machinerie obsessionnelle. Régies selon l'angle droit du profilé d'aluminium, des surfaces se dupliquent, obéissent à un processus imparable, à même d'absorber,[...]

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